Nous procédons à une analyse de la pertinence. Elle consiste à définir les enjeux environnementaux, sociaux et économiques qui ont une incidence importante sur nos activités ou sur ce que nos parties prenantes pensent de nous. Nous avons mené notre première analyse de la pertinence quand nous avons préparé notre rapport sur le développement durable de 2010. Une partie du processus consistait à mener des entrevues avec des personnes représentant le milieu de la recherche, l’industrie, le gouvernement, les clients, les organisations non-gouvernementales de l’environnement, les syndicats et les investisseurs. Ces entrevues nous ont permis de mieux comprendre les questions qui ont une grande importance pour nous et la perception qu’ont nos parties prenantes de notre façon de gérer ces enjeux.
Les enjeux sont divisés en trois catégories, les questions environnementales, sociales et économiques, puis placés dans une matrice qui sert à évaluer leur incidence et leur importance pour les parties prenantes. Par exemple, les émissions de gaz à effet de serre (GES) et la consommation d’eau sont des questions qui ressortent comme ayant une incidence élevée et représentant une grande préoccupation. Elles sont donc considérées comme très pertinentes.
En 2013, nous avons mis à jour notre analyse de la pertinence (pour savoir ce qui préoccupe vraiment les parties prenantes, il faut les sonder régulièrement). Nous avons également ajouté trois questions à la liste :
- relations avec les Premières Nations et partenariats économiques
- conservation et aires protégées
- transparence et communication
Ces nouveaux enjeux ont été inclus dans notre plus récent rapport sur le développement durable préparé selon le cadre G4 de la Global Reporting Initiative (GRI) pour que nos parties prenantes puissent accéder à l’information qui les intéresse.
Pour plus d’information sur la façon dont nous déterminons les questions pertinentes et sur d’autres faits intéressants, consultez le rapport annuel combiné 2014 de Résolu.
