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Réactions à la pétition trompeuse diffusée par STAND

La semaine dernière, l’organisme de pression STAND a mis en circulation une pétition hyperbolique « condamnant » Résolu pour avoir exercé son droit d’entamer une poursuite judiciaire au civil contre lui.

Cependant, l’aspect que cette pétition omet visiblement de mentionner est que cette poursuite est tout à fait fondée au sens du droit. Selon Jonathan Adler, analyste juridique du Washington Post, « il n’existe aucune raison pour laquelle [la Loi sur le racket et la corruption dans les opérations sur valeurs mobilières] ne serait pas tout aussi applicable aux groupes environnementaux, particulièrement si certains fabriquent délibérément des preuves ».

Cette pétition fait aussi abstraction du fait que STAND engage et appuie des poursuites liées au discours public relatif à des questions environnementales. En fait, son codéfendeur, Greenpeace, intente régulièrement des poursuites contre toutes sortes de parties, notamment en vertu des dispositions de cette loi. Greenpeace a même fait parvenir des avis de diffamation à Résolu bien avant que les poursuites actuelles aient été entamées. Le NRDC, l’un des signataires de la pétition de STAND, compte un service du contentieux actif à temps plein qui, lui aussi, dépose régulièrement des poursuites fondées sur des enjeux environnementaux. Il apparaît donc que STAND ne s’oppose pas aux actions en justice relatives à la défense de l’environnement, mais plutôt au fait d’être nommé défendeur.

Voici ce qu’en disent certains médias et intervenants, qui ont félicité Résolu pour sa volonté de tenir les défendeurs responsables :

« Même les concurrents de Résolu l’applaudissent en privé, et nous sommes heureux de le faire publiquement. Dans l’intérêt des travailleurs et des actionnaires de partout, espérons que les cadres américains suivront l’exemple de M. Garneau. »

 

Comité de rédaction du Wall Street Journal (2016-03-18)

 

« Depuis trop longtemps déjà, les organismes éco-activistes infligent injustement d’immenses dommages économiques aux entreprises en diffusant de la fausse information et en semant des craintes infondées dans la population. Ils mènent une guerre économique à l’échelle internationale. Un exemple remarquable de la manière dont les entreprises injustement attaquées devraient réagir est celui de Produits forestiers Résolu, le plus important producteur mondial de papier journal. Résolu a courageusement et audacieusement mené la charge en vue de contrer ces injustices devant les tribunaux. D’autres devraient faire de même. »

 

Steve Forbes, Investor’s Business Daily (2016-09-16)

 

 « La pression exercée par les campagnes de peurs environnementales en vue de faire plier les entreprises peut se révéler immense… À la suite du long historique de distorsion des questions environnementales par Greenpeace, nous découvrirons peut-être s’il reste une quelconque crédibilité à mettre en doute. »

 

Comité de rédaction du Wall Street Journal (2016-06-19)

 

« Comment vous sentez-vous dans ces souliers? »

 

Glenn Reynolds, Instapundit (2016-06-01)

 

« J’aimerais beaucoup que d’autres entreprises aient assez de colonne pour refuser de céder aux tactiques d’extorsion de Greenpeace. Jusqu’à ce que cela se produise, j’achèterai mes produits chez des détaillants qui s’approvisionnent auprès de Résolu et je conseillerai à mes amis de faire de même. »

 

H. Sterling Burnett, The Washington Times (2016-06-26)

 

« Comment la presse a-t-elle permis que des comportements aussi contraires à l’éthique de la part d’ONG puissent se produire? Greenpeace trompe délibérément la population et monte des canulars à l’intention des journalistes en n’ayant aucun compte à rendre aux États-Unis. Si une entreprise du secteur privé se comportait de la sorte, le tollé serait assourdissant. »

 

Brandon Phillips, du National Fisheries Institute, The Wall Street Journal (2016-06-23)

 

« Ils affirment que Résolu tente tout bonnement de les intimider. Mais ce n’est pas le cas. La question est axée sur la vérité et la justice, ainsi que le fait que Greenpeace mine les affaires de Résolu et détruit des emplois, et cela ne devrait pas être permis. Je suis stupéfié qu’on ait permis que cette situation persiste aussi longtemps. »

 

Peter Foster, du Financial Post, en entrevue avec Marita Noon (2016-06-09)

 

« Résolu vient de franchir une autre étape importante pour se défendre contre les attaques de l’intimidateur vert. »

 

Marita Noon, Townhall (2016-06-06)

 

« Une entreprise qui n’a pas cédé et commencé à apaiser Greenpeace dans l’espoir de mettre un terme au harcèlement est Résolu, dirigée par son chef de la direction, Richard Garneau. »

 

Professeure Jaana Woiceshyn, How to be Profitable and Moral (2016-06-05)

 

« Rares, sinon inexistants, ont été les dirigeants d’entreprise qui ont osé qualifier d’extorsion le mode d’opération des éco-ONG. Richard Garneau est donc un dirigeant presque unique. Dans un monde entrepreneurial qui dégouline de pratiques déontologiques bidon, M. Garneau, un homme calme et modeste de la zone boréale, a démontré sa droiture morale en refusant de se plier à des offensives qu’il juge mensongères et intimidatrices. Et pendant que les dirigeants des autres entreprises de son secteur continuent de manquer à l’appel, de plus en plus de communautés nordiques, de groupes autochtones et de syndicats commencent à s’insurger contre les intimidateurs anti-marques. »

 

Peter Foster, Financial Post (2016-07-22)

 

« Il n’existe, selon moi, aucune raison pour laquelle [la Loi sur le racket et la corruption dans les opérations sur valeurs mobilières] ne serait pas tout aussi applicable aux groupes environnementaux, particulièrement si (comme le prétend Résolu) certains groupes fabriquent délibérément des preuves dans le cadre de leurs campagnes médiatiques et de financement. Il s’agit là d’un point important, puisque Résolu ne se contente pas de remettre en question les affirmations rhétoriques de Greenpeace ou ses conclusions (bien qu’elle le fasse). Résolu soutient également que les dirigeants et les organismes affiliés de Greenpeace falsifient délibérément des preuves (en altérant des photographies, par exemple). »

 

Jonathan H. Adler, The Washington Post (2016-05-31)

 

« En opposant sa résistance à Greenpeace, Produits forestiers Résolu rend service au monde entier… Il est inspirant de voir une entreprise se défendre contre les intimidateurs verts afin de protéger la vérité, ses employés et ses clients. Les victimes des accusations fausses de Greenpeace devraient lui clouer le bec avec force et révéler son vrai visage. »

 

Amy Payne, National Review (2016-04-20)

 

« Il est difficile de blâmer Résolu pour son scepticisme à savoir si Greenpeace cherche véritablement des solutions ou, au moins, des mesures à prendre qu’elle est prête à respecter pendant très longtemps. Cela pourrait, après tout, nuire à ses efforts de financement. »

 

Konrad Yakabuski, The Globe and Mail (2015-12-31)

 

« Ce que je trouve dommage c’est que souvent on va dire au niveau international que l’on fait de la coupe forestière, mais ce que l’on fait en réalité c’est de la culture forestière, c’est vraiment très différent. »

« On ne peut pas penser juste au niveau des entreprises. Ce sont des gens qui y travaillent, c’est toute une économie qui est rattachée à ça. »

 

Guy Larouche, maire de Roberval et président du Caucus des municipalités de centralité de l’Union des municipalités du Québec

 

« Je tiens à rappeler que le régime forestier du Québec est le plus rigoureux dans le monde. […] Ces résultats confirment également les efforts des sociétés forestières de la province en vue de gérer les ressources de façon responsable. »

 

Laurent Lessard, ministre des Forêts, de la faune et des Parc, gouvernement du Québec (FSC International, forum international de haut niveau sur l’application de la résolution 65. Du 30 nov. au 2 déc.)

 

« Je crois que la façon dont la forêt est gérée est fantastique. Ils tiennent de nombreuses activités portes ouvertes et y présentent tous les concepts, de sorte que nous ayons tous notre mot à dire avant leur acceptation et leur planification. Puisque j’y ai pris part toute ma vie, ils font un bon travail, à mon avis. Ça fonctionne bien. »

 

Chef Pierre Pelletier, grand chef régional, zone du traité Robinson-Supérieur

 

« Je pense que les revendications de Greenpeace sont terribles. L’organisme diffuse de la fausse information et des accusations sensationnalistes à l’égard des entreprises du secteur forestier, et cela doit cesser parce que les clients qui achètent des produits de la forêt boréale canadienne subissent du harcèlement, ce qui, par ricochet, met en péril l’économie du Nord de l’Ontario… À ce que je sache, personne de Greenpeace n’est jamais venu à Atikokan ni ne s’est jamais adressé à nous ni à n’importe quel autre groupe environnemental. Nous sommes une petite communauté et nous sommes là, à prendre soin de l’économie et des emplois, et nous sommes très déçus de certains des gestes de Greenpeace à l’heure actuelle, comme la désinformation et le harcèlement des clients, particulièrement ceux de Résolu. Ce n’est pas juste et ça doit cesser. »

 

Dennis Brown, maire d’Atikokan

 

 « Il est moralement rafraîchissant de voir que Produits forestiers Résolu considère désormais la participation des communautés des Premières Nations comme une partie intégrante de la solution et du processus en son entier. À mon avis, il est très important que les entreprises du secteur, les Premières Nations et les gouvernements collaborent afin que tous puissent profiter des ressources et que même les collectivités non autochtones puissent tirer des avantages de cette activité. »

 

Chef Wilfred King, Première Nation de Gull Bay

 

« Il y a des activistes, un peu partout, qui prétendent que la forêt boréale est menacée. Ce qui n’est pas le cas. Entre autres, ils prétendent qu’il y a une déforestation. La déforestation consiste à enlever les arbres du sol, à les déraciner, et remplacer la foresterie par l’agriculture, par l’implantation d’industrie ou autres. […] Il faudrait dire à Greenpeace que leur (sic) mission est contraire à nos enjeux. Protéger la planète ne veut pas dire mettre un terme à la subsistance durable des personnes, à l’appauvrissement des collectivités. […] Les personnes qui sont dans les grandes villes, les métropoles, n’ont aucune connaissance de notre réalité, ils (sic) sont influencés par des campagnes où le fondement de la science n’appuie pas ce que Greenpeace et d’autres répandent. »

 

Jacques Asselin, maire de La Doré

 

 « Je fais partie de la communauté depuis 28 ans. Il est difficile de penser à un organisme, à une association ou à une entreprise de notre municipalité qui n’a pas été directement influencé par Résolu, ses employés ou la participation de ses employés et sous-traitants au sein de notre collectivité. Tous les aspects de notre communauté ont bénéficié de la présence de Résolu. »

 

John Lawson, employé de Résolu

 

« Présentement, les activistes, les images qu’ils essaient de projeter de l’industrie forestière c’est que nous ne protégeons pas la forêt, que l’on va mal couper la forêt, ce qui est totalement faux. On reboise, on va faire du débroussaillage pour que justement la forêt puisse pousser en meilleure santé. On cultive, on fait cela dans les règles de l’art, mais ce n’est pas l’image qui est projetée au sein de la population. »

 

David Côté, employé de Résolu

 

« On se demande vraiment pour qui les groupes environnementaux se battent. Ce n’est sûrement pas pour les utilisateurs de la forêt ou pour les gens qui y vivent. Le débat de société est teinté de mensonges et de faussetés. Il faut rétablir les faits et s’assurer que l’on est de bons utilisateurs. »

 

Sylvain Goulet, directeur général de la scierie de La Doré

 

Forêt Boréale, Greenpeace

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